Une parole qui nourrit et qui brûle le coeur
comme celle de Jésus aux diciples d'Emmatis
( Luc 24.31 )
alors qu'il interprétait pour eux les Ecritures
qui le concernaient :
voilà ce que nous cherchons dans la lecture
de la bible. Il ne s'agit pas d'abord d'acquirir
des connaîssances sur Dieu mais de vivre
de Sa Parole .
l'évengile de Jean nous trace l'itinéraire du diciple à
la rencontre de son maître loesque
Jésus dit à Nicodème :
A moins de renaître d'eau et de l'Esprit ,
nul ne peut entrer dans le Royaume de Dieu.
On ne saurait étudier aujourd’hui l’histoire
de l’Occident sans rendre compt de l’héritage de la brillante civilisation arabo-musulmane.Nous laisserons à Sigrid Hunke le soin de conclure son magistral ouvrage par ces mots « La haine religieuse et l’intolérance ont toujours été les pires conseillères des peuples, leur fomentation l’ennemi de toute vie et de tout progrès. Que les peuples ne puissent, au contraire, atteindre leur plus grand épanouissement sans des échanges et une considération réciproque, sans l’ouverture de
toutes leurs frontières et une amicale concurrence,
voilà ce que ne manque pas de confirmer l’histoire étrange (marquée à la fois par la répulsion et l’attirance, l’hostilité et l’envoûtement) des relations entre le monde musulman et l’Occident, relations, qui en dépit de la méfiance et de la haine ont été pour l’univers un immense bienfait »
Le génie des arabes est d’avoir su
étudier et traduire les ouvrages
des savants grecs, indiens ou chinois
en les critiquant et en apportant
de nouvelles conclusions.
Ce n’est que par le biais des ouvrages arabes,
traduits en latin, que l’occident, à partir de
la Renaissance, pourra se lancer dans la
grande aventure scientifique du monde moderne.
Peut-on imaginer l’étude des mathématiques modernes, de l’algèbre, sans l’adoption de la numération décimale par l’humanité entière ?
Déjà, bien avant Copernic, les arabes avaient
émis l’hypothèse de la rotation de la terre autour
du soleil, ils avaient établis des catalogues
d’étoiles et construit des observatoires.
Ils connaissaient les mécanismes de la circulation
sanguine et avaient abordé les domaines
de l’ophtalmologie, la psychiatrie, la chirurgie...
dont les traités de la Renaissance
se sont largement inspirés.
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