J' ai dévoué tes embûches , ô destin ,
j'ai fermé toutes les voies par lesquelles
tu pouvais m'atteindre , nous ne nous
laisserons vaincre ni par toi , ni par
aucune force mauvaise , et quand
l'heure de l'inévitable aura sonné ,
notre mépris pour ceux qui s'agrippent
vainement à l'existance éclatera en ce
beau chant :
Ah ! que dignement nous avons vécu