compte tenu de la limite du temps qui reste pour la négociation, de la complexité et de la longueur du texte actuellement disponible et des divergences de vue fondamentales entre les
gouvernements.
sur de nombreuses questions critiques, certains délégués ont semblé résignés au fait que le résultat de Copenhague pourra, au mieux,
prendre la forme d'un accord "politique"
énonçant les éléments essentiels, le gros des détails devant être finalisé ultérieurement. A défaut de progrès significatifs à la prochaine session, qui se tiendra à Bangkok, parvenir à un accord,même sur un tel résultat limité, sera difficile.
L’échéance très courte met aussi la pression sur le
Sommet du Secrétaire-général sur les changements climatiques, de septembre.
Les dirigeants de tous les pays y auront besoin de donner une impulsion politique permettant de mener les
négociations à une conclusion réussie, à Copenhague, et de livrer un accord ambitieux portant sur l'urgence de la lutte contre le changement climatique. Ils devront y faire preuve de leadership