L'homme suit son chemin
Les goûts des absinthes dans son cœur
Ah, fidèle gamine,
C'est vrai, je te devine !
Au coeur de mon tumulte,
Tu chantes et tu exultes !
La douceur de ta voix
Me ramène à la foi,
Ton air épanoui
Me rappelle à la vie .
Mais sors de ta cachette !
finies les devinettes !
Qui es-tu, petite flamme ?
Coucou, je suis ton âme !
Où es-tu petite fille
A la mine réjouie ?
Où es-tu mon amie,
Ma douce compagnie ?
Je suis là dans ton corps
Aux tréfonds de la mort,
Je suis là dans le noir,
Je brille, tu peux me voir !
Commentaires
1. Otakindt le 22-01-2010 à 21:32:04 (site)
Ce qui est contradictoire dans les deux première phrases, c'est qu'un chemin n'a pas de chagement, c'est une continuitée.
Et un changement perpétuel est une continuitée. Bonne soirée.